samedi, octobre 17, 2009

Rigolons un bon coup avec le réchauffisme (comique de répétition)

Sky Fall ressort un article de 2007, réchauffiste, avec toute la rigueur scientifique que ce terme suppose, annonçant («Tremblez, mortels. La fin du monde approche») un réchauffement spectaculaire en 2009. L'année 2009 fatidique est presque finie et je n'ai vu de spectaculaire réchauffement. Et vous ?

J'avais moi aussi gardé sournoisement sous le coude cet article, prévoyant déjà à l'époque son potentiel humoristique mais Sky Fall a dégainé le premier.

Les réchauffistes ont été assez cons pour annoncer leurs prévisions, ça les perdra : les hommes n'ont pas de mémoire, mais internet en a pour eux. Cela va être une rigolade récurrente dans les prochaines années de ressortir leurs cris d'alarme hystériques et de les comparer à la réalité.

Al Gore, Hansen, Hulot, courez vous cacher au fond des bois.

19 commentaires:

  1. Tiens, Franck, puisque nous en sommes à rigoler un grand coup...

    De la viande et de son abus

    RépondreSupprimer
  2. Les bien-pensants se lâchent, ils n'hésitent plus à afficher fièrement leur connerie. Il y a dix ans, cet article serait passé pour un canular.

    Et les commentaires des abonnés, mon bon monsieur, quelle désolation (à part celui-ci, qui résume bien la situation :

    DANIELLE C.
    17.10.09 | 07h45

    Vive la démocratisation! Jadis, le club des sauveurs de planète était très fermé, une sorte de super-ENA où il fallait s'appeler Bouddha, Jésus ou Mahomet, job difficile, avec plein d'heures supp. et en général mal vu par ses voisins. Aujourd'hui, réjouissez-vous complexés, ratés, cocus et médiocres de tous poils : pour être sauveur de planète, il suffit de manger bio, ne pas tirer la chasse, rouler à bicyclette et avoir un slip en coton ; en plus, le risque d'être crucifié est quasi nul. )

    Avec des tordus pareils qui ont de plus plus d'influence, on n'a pas fini de rire. Et de pleurer.

    RépondreSupprimer
  3. J'ai une question (dont je vous rassure, je ne connais pas la réponse). Peut-être pas directement pas à propos de l'article mais passons. Actuellement nous émettons des tonnes de CO2 dans l'atmosphère par des processus irréversibles. C'est donc une certitude que nous perturbons le cycle du carbone, non? Donc qu'advient-il de ce CO2 émis? Indépendamment du fait que cela puisse réchauffer ou non la planète. C'est une question tout ce qu'il y a de plus innocent, si quelqu'un a une piste pour moi...

    RépondreSupprimer
  4. Vous pouvez fouiller sur pensée unique :

    http://www.pensee-unique.fr

    De tête, donc il est possible que je me trompe, le CO2 reste dans l'atmosphère en moyenne deux ans (c'est-à-dire cinq fois que ce que disent les alarmistes).

    Le CO2 est dissous dans l'océan ou absorbé par les plantes.

    RépondreSupprimer
  5. Ok mais si on augmente l'émission et/ou diminuons la présence de plantes (ou augmentation de la température des océans), cela ne dérègle pas tout? La balance absorption/émission tient-elle la route?

    RépondreSupprimer
  6. Vous pouvez fouiller sur pensée unique :

    http://www.pensee-unique.fr

    De tête, donc il est possible que je me trompe, le CO2 reste dans l'atmosphère en moyenne deux ans (c'est-à-dire cinq fois moins que ce que disent les alarmistes).

    Le CO2 est dissous par l'océan ou absorbé par les plantes.

    N'oubliez pas que l'absorption IR par le CO2 est un phénomène logarithmique, autrement dit saturant, très rapide au début, de progression insignifiante ensuite.

    Au stade actuel, l'atmosphère est déjà saturée en CO2, on peut doubler, tripler ou quadrupler la quantité de CO2 dans l'atmosphère sans changer l'absorption IR de plus de quelques %.

    RépondreSupprimer
  7. Nos commentaires se sont croisés.

    J'ai quelques scrupules à régler ces questions en deux lignes.

    Je ne voudrais pas me montrer aussi con que les réchauffistes et régler en deux trois idées grossières et fausses des problèmes complexes.

    Pensée unique me paraît une bonne introduction, sinon si vous cliquez sur la catégorie réchauffisme au bas de ce message, vous aurez quelques références.

    Je vais quand même essayer de vous répondre : a priori, le CO2, c'est bon pour les plantes chlorophylliennes, plus il y en a, plus elles croissent, plus elles peuvent en absorber, à condition que les autre nutriments, dont l'eau, soient suffisants.

    RépondreSupprimer
  8. Je ne me permettrais pas de conclure sur l'éventuel réchauffement de la planète. Je n'y connais rien et si des savants ne peuvent se mettre d'accord, comment le français moyen pourrait-il avoir un avis sur les choses ?

    Ce que j'en conclue, sur le fonds, rien, sur la forme, que l'on nous prends encore tous pour des cons !!! Comment faire autrement ?

    Après les pluies acides, le trou de la couche d'ozone...

    Le mensonge politique c'est comme le dopage sur le Tour de France, il n'y a que les niais qui croient encore que cela n'existe pas.

    Tout le monde est lié par la loi du silence, car personne n'a intérêt que cela se sache.( les hommes politiques=apport de voix et meilleure image, les médias=meilleure diffusion, les chercheurs=des fonds pour leurs recherches, les citoyens=un moyen de se faire peur et les ex-révolutionnaires gauchistes, un moyen de combattre un système qu'il vomissent). Je te tiens tu me tiens par la barbichette...

    Pour faire avancer la recherche sur le Sida on pourrait peut-être payé une recherche sur l'influence du réchaufement climatique sur la propagation du virus.

    RépondreSupprimer
  9. Bon. Et sur FDesouche, on annonce le démantèlement des Étas-Unis pour... 2010.

    RépondreSupprimer
  10. Au fait, savez-vous quelque chose du trou dans la couche d'ozone ? Tout de même, il y a quelques années, on ne parlait que de ça. Puis ça s'est arrêté brutalement. Donc encore une fumisterie. Et personne n'a fait amende honorable. De la même manière que personne ne le fera dans dix ans pour le réchauffement.

    RépondreSupprimer
  11. Des, fdesouche déconne.

    Le trou dans la couche ? Les industriels américains ont réussi à caser leurs substituts aux CFC trois fois plus chers et pour ce prix, les crétins se sont acheté une bonne conscience. Les scientifiques ? Ils ont eu des crédits pour finir par s'apercevoir que le fameux trou variait beaucoup naturellement.

    Tout le monde est content (sauf l'honnêteté, mais tout le monde s'en fout) pourquoi attendez vous la moindre repentance ?

    Une repentance pour avoir répandu des conneries ? Vous n'avez rien compris à la repentance : on bat la coulpe de nos aïeux qui étaient tous des cons irresponsables et sanguinaires, pas la nôtre, nous sommes parfaits et c'est trop pénible de reconnaître ses torts.

    RépondreSupprimer
  12. @spip : il y avait 100 000 fois plus de CO2 dans l'atmosphère il y a 4,5 milliards d'années. Comment croyez-vous qu'ont fait nos ancêtres les bactéries pour se développer ?

    "Tout le monde est lié par la loi du silence, car personne n'a intérêt que cela se sache."

    Ceux qui ont le plus intérêt à ce que ça ne sache pas sont ceux qui vont se gaver sur cette escroquerie planétaire, à commencer par des ordures comme Al Gore. Du temps de l'URSS, les apparatchiks pouvaient se goinfrer de caviar provenant de magasins où ils étaient les seuls à pouvoir accéder pendant que la population faisait la queue tous les jours pour rien pour espérer avoir un morceau de pain.

    RépondreSupprimer
  13. Admettons qu'Al Gore soit une ordure et tous ces gars du GIEC. J'ai tout de même vraiment du mal à croire que de l'autre côté, du votre si je puis me permettre, il n'y ait pas de répondant. Les lobbies pétroliers qui sont, je ne crois pas me tromper, des plus puissants au monde n'auraient-ils pas intérêt à faire taire tout ce foin autour du réchauffement?

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Carbon_club

    Je suis désolé mais personne n'a plus de crédibilité dans cette bataille d'intérêt pour le gars moyen qui essaie de comprendre...

    RépondreSupprimer
  14. Les compagnies pétrolières n'ont pas pour but la vérité scientifique.

    Adhérer aux histoires réchauffistes leur permet de se donner à bon compte une image «verte», de se faire payer grassement pour chercher (pas trouver) des énergies «alternatives» et pour quels inconvénients ?

    Aucun. Les pétroliers, qui ont la tête sur les épaules, savent bien que, quoi que disent les politicards, nous consommerons de plus en plus de pétrole.

    Enfin, à la fameuse question «est-il possible que tant d'augustes personnages, même scientifiques, se trompent ?», ma réponse est clairement, sans aucune hésitation, positive.

    Si on était méchant, on dirait que la capacité de l'espèce humaine à se forger des illusions collectives est une constante à travers son histoire.

    La science n'est pas démocratique. Ni la majorité, ni le consensus, ni même l'unanimité ne décident de la vérité. La vérité est. Indépendamment du nombre de ceux qui la suivent.

    De l'eugénisme, à la dérive des continents en passant par la fin de la physique (en vogue en 1890), on ne compte plus les questions où c'est la mauvaise réponse qui faisaient la quasi unanimité des scientifiques.

    Quand vous ajoutez à cela les aspects messianiques politico-religieux qui caractérisent le réchauffisme (et qui le rendent si irritant à ceux qui sont déssillés), vous obtenez un mensonge (ou une erreur, suivant les cas) bien ferme, bien dur, résistant, mais toujours aussi faux.

    RépondreSupprimer
  15. la mauvaise réponse qui faisait

    RépondreSupprimer
  16. Et pourquoi tout cela a-t-il commencé? Pourquoi le GIEC a-t-il publié des graphiques faux?

    Al Gore ne serait-il que la victime du système et non une ordure (vu qu'il n'est pas scientifique pour un sou)?

    RépondreSupprimer
  17. Il sort tous les jours de nouvelles hypothèses scientifiques. Certaines finissent par se révéler vraies, d'autres fausses, c'est ainsi, par cette noria permanente d'hypothèses, validées ou invalidées, que notre connaissance progresse.

    Il n'est donc pas étonnant qu'un jour quelqu'un ait pu émettre l'hypothèse que l'homme réchauffait de manière significative le climat par les mécanismes de l'émission de CO2 et de l'effet de serre.

    Ce qui est étonnant, c'est le destin politique de cette hypothèse, que l'on sait aujourd'hui, autant qu'on peut le savoir, invalide.

    Plusieurs éléments ont convergé :

    > dès le départ, cette hypothèse n'était pas politiquement neutre. Margaret Thatcher a financé les premières recherches parce que ça l'arrangeait de dire du mal du charbon dans son conflit avec les mineurs.

    > la fin de la guerre froide approchait, la peur est très vendeuse, cette hypothèse terrifiante a été une aubaine pour les labos en quête de crédits. C'est très clair dans le cas de la NASA, qui a commencé à s'intéresser au réchauffisme pour redorer son image après l'accident de Challenger.

    > la population occidentale ressentant un vide religieux, suite au recul des religions traditionnelles, était mûre pour accueillir cette resucée de vieux mythes païens.

    Al Gore n'est pas un scientifique, mais ce n'est pas une excuse pour propager sciemment des mensonges, même s'ils lui rapportent des fortunes (autant pour le désintéressé bienfaiteur de l'humanité).

    Il a participé à trop de discussions et de débats sur ce sujet pour ignorer au moment où il hurle comme un abruti «the debate is settled» que c'est absolument faux, que la fameuse crosse de hockey a été démentie, que les prévisions catastrophiques du GIEC sont revues à la baisse, que le même GIEC a subi des démissions spectaculaires de convertis au sceptiscisme, que les prévisions des modèles numériques, seules «preuves» de la cause humaine du réchauffement, s'avèrent fausses etc.

    Non, Al Gore est délibérément malhonnête.

    RépondreSupprimer
  18. On peut résumer par :

    «L'homme n'est ni ange, ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête.»

    Par grand'chose n'a changé depuis Blaise Pascal !

    RépondreSupprimer
  19. "Al Gore ne serait-il que la victime du système et non une ordure (vu qu'il n'est pas scientifique pour un sou)?"

    Hulot non plus, mais le crétin qui sévit à l'Elysée suit ses recommandations comme s'il était un expert reconnu en climatologie. En fait, c'est un Lyssenko du nouveau millénaire, un faux prophète et surtout un escroc.

    RépondreSupprimer