mardi, mai 11, 2010

Frankenchet et ses copains en action

Deux solutions :

> d'un coté, la solution que nous appellerons nordique : réduction des déficits et des dettes publics grâce au travail et à des mesures intelligentes de transformation de l'Etat.

> de l'autre, la solution que nous appellerons sudiste : faire marcher la planche à billets, générer de l'inflation, bouffer l'épargne et l'investissement. Mais, gros avantage, ça ne demande aucun effort, ni physique ni intellectuel.

Bien sûr, résultat de cette brillante politique, les pays du sud restent, suivant le mot de de Gaulle, des «pays à la traîne, oscillant perpétuellement entre le drame et la médiocrité.»

Mais De Gaulle, ce con, essayait de faire atteindre à la France la haute ambition qu'il avait pour elle. Les vrais intelligents, qui ont fait les grandes écoles, comme Juppé, Rocard, Sarkozy ou Aubry, ont une technique bien plus rusée : ils abaissent leur ambition pour la France jusqu'à la rendre accessible à sa médiocrité. En fait, ils l'abaissent tellement qu'elle devient une ambition pour eux-mêmes : rouler avec chauffeur et vivre dans des palais de l'Ancien Régime. Une ambition à la taille des nains qu'ils sont.

Et alors, que croyez vous que Trichet et sa bande ont choisi pour l'Euroland ? Hé oui, la monétisation des dettes publiques, autrement dit, la solution sudiste.

Les Allemands doivent se sentir bien seuls.

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