mardi, janvier 11, 2011

Les employeurs devraient-ils avoir le droit de discriminer au faciès ?

Le procès d'Eric Zemmour se tient aujourd'hui. On cite ses propos sur les délinquants noirs et arabes, moins ceux en faveur de l'immunité de la discrimination à l'emploi.

Les employeurs devraient-ils avoir le droit de discriminer au faciès ?

La réponse est, bien entendu, positive. L'employeur a la responsabilité d'embaucher les gens les plus adéquats pour le poste proposé. Si il considère que les blancs sont des fouteurs de merde et qu'il ne faut pas les embaucher, cela devrait être son droit de ne pas les prendre. Si il se trompe, il se prive de salariés de talent qui pourront aller travailler chez un concurrent.

C'est en ce sens que les partisans de la pénalisation de la discrimination ne sont pas cohérents : ils ne cessent de nous seriner que la diversité raciale est une richesse. Mais alors, ceux qui s'en passent s'appauvrissent, ce qui, dans notre société concurrentielle, les met en danger. Alors pourquoi, de plus, les poursuivre en justice ?

A moins, évidemment, qu'on nous mente et qu'en se privant de diversité raciale, on ne se prive pas de grand'chose. Ce qui serait cohérent avec la volonté de juger les discriminateurs qui dévoilent que la richesse tant vantée est une foutaise, impardonnable blasphème .

22 commentaires:

  1. Je partage tout à fait cet avis. Si la diversité raciale était un critère de succès, la mécanique du marché aurait déjà éliminé les entreprises "mono-raciales". Visiblement ce n'est pas le cas.

    Mais je reviens tout de même sur la polémique liée à la délinquance et à l'appartenance à un groupe ethnique. Les criminels les plus recherchés en France figurent sur le site www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/
    Sur environ 80 criminels identifiés il n'y a que 10 "gaulois". Les patronymes arabes constituent plus de 50% des personnes recherchées. Certainement des victimes de la discrimination...

    En revanche assez peu de noirs. Quelqu'un a-t-il une explication ?

    RépondreSupprimer
  2. J'ai la nette impression qu'on parle souvent de race quand il faudrait parler de culture. Si on persiste dans la confusion, ça va mal finir.

    RépondreSupprimer
  3. @hotelalpha
    "En revanche assez peu de noirs. Quelqu'un a-t-il une explication ?"

    J'ai bien peur qu'il soit raciste que d'affirmer qu'ils se font plus facilement attraper que les autres...

    RépondreSupprimer
  4. Vous devez engager un employé ayant à faire au public. Deux candidats : un Noir présentant bien, français parfait, poli, etc. Un petit merdeux "gaulois" genre "ouais". Vous engagez qui ?

    RépondreSupprimer
  5. Curmudgeon,

    Quelque part, votre exemple ne fait que déplacer le problème: en raisonnant en terme de culture, le recruteur va discriminer tous les candidats qui seront de culture différente, quelle que soit leur couleur de peau.

    D'ailleurs le combat anti-raciste a glissé exactement de la même façon, justement pour pouvoir contrer votre argument culturel car il était évident qu'il surgirait aussitôt le racisme interdit: il a été élevé au rang de Vérité que toutes les cultures se valent.

    Il n'y a pas de race. Toutes les cultures se valent.

    RépondreSupprimer
  6. A Curmudgeon : pour répondre à la première remarque (pour la deuxième remarque la réponse me semble évidente)

    La culture est effectivement déterminante. Cette influence a été très bien démontrée par Hugues Lagrange (intellectuel de gauche difficile à suspecter) dans "Le déni des cultures". Et il n'existe évidemment aucun lien direct entre le taux de mélanine dans le sang et le taux de criminalité.

    Cependant la liberté de pensée me pousse vers le politiquement incorrect : il existe un lien indéniable et prouvé entre le quotient intellectuel et le taux de criminalité. Or les groupes ethniques évoqués viennent tous de pays dont les quotients intellectuels moyens oscillent entre 66 et 83 (en prenant en base 100 le QI moyen britannique - cf IQ and Global Inequality de Richard Lynn et Tatu Vanhannen). Et l'intelligence est héréditaire pour une grande partie (de 40% à 80% de corrélation). La culture ne me semble donc pas le seul élément à prendre en compte.

    RépondreSupprimer
  7. Hotelalpha,

    Michel Chasles doit se retourner dans sa tombe!

    RépondreSupprimer
  8. A Epicier Vénéneux :
    Il peut se retourner il a de la place.

    RépondreSupprimer
  9. Les employeurs devraient discriminer au faciès. Si les démons ont parfois des visages d'anges, on a le plus souvent la tête de ce qu'on est.

    RépondreSupprimer
  10. En la matière la meilleure attitude me semblerait être celle du "Don't ask, don't tell". Les pouvoirs publics devraient s'abstenir de s'immiscer dans les décisions de recrutement des employeurs - ce qui en pratique est la porte ouverte à l'arbitraire et à la tyrannie bureaucratique - et les employeurs devraient s'abstenir de justifier publiquement leurs critères de recrutement - ca ne regarde qu'eux. Si un patron est assez bête pour se priver d'un bon employé parce qu'il est noir, qu'il est une femme, etc. il y a un punition immanente pour ca, qui s'appelle la faillite.

    RépondreSupprimer
  11. A un moment donné dans un lieu donné, les individus appartiennent à une race R1, R2..., et appartiennent à une culture C1, C2... S'il y a une corrélation entre le fait d'appartenir à R2 et le fait d'appartenir à C3, on sera tenté de projeter des traits de C3 sur R2. C'est pourquoi ces discussions tournent si souvent en rond. Si on ne distingue pas soigneusement type physique, nation, culture, religion, langue, etc., (et même niveau économique, occupation...), on est, presque malgré soi, entraîné vers des glissements de domaine à domaine qui nuisent à l'appréhension réaliste des faits.

    Ensuite, s'agissant des cultures, il est avisé d'y préciser les traits qu'on veut comparer. Les Aztèques avaient une poésie raffinée, leurs élites se pavanaient en chouettes costumes avec des plumes de quetzal, mais ces esthètes raffinés pratiquaient des sacrifices humains. Nous mêmes, les Occidentaux...

    Spécialement depuis le XVIIIe siècle, des tentatives sans cesse renaissantes visent à hiérarchiser les races, variablement définies selon les circonstances, et avec un arsenal scientifique plus ou moins développé. Ces tentatives peuvent être le fait d'esprits d'une réelle envergure, comme Galton, Pearson. Suivant les cas, l'inspecteur condescendant met une sale note a) aux juifs des shtetls, b) aux Irlandais, ivrognes prognathes papistes délinquants, c) aux Nègres, gentils, mais irresponsables et niais, d) aux peuples autres que ceux de la race yamato, Coréens, Chinois, Mongols, Aïnous, et autres, d) aux non-Aryens, e) aux Méditerranéens crasseux et paresseux, f) récemment, aux Blancs, salle race de mous et dégénérés. Il y a bien entendu une littérature considérable sur le QI, et ainsi de suite.

    J'ai tenté naguère une petite discussion sur un autre site, mais le ton était tel que j'ai laissé tomber. Quand des gens sont viscéralement persuadés que les Nègres sont des imbéciles (et moches en plus), que les Haïtiens sont intrinsèquement des cornichons, qu'il y a des langues qui sont des jargons composés d'"éructations" (sic), il ne faut pas espérer entamer leurs certitudes. Je dois reconnaître aussi, franchement, que ces questions de type physique, de race ne me passionnent vraiment pas. J'envisage plutôt ça sous un angle esthétique, par exemple en admirant les types de beautés différents des femmes : une jolie Berbère, une jolie Sénégalaise, une jolie Vietnamienne, une jolie Irlandaise, une jolie Indienne, une jolie Ukrainienne. Et là, bien sûr, quoique étant très œcuménique, j'ai certaines préférences innocentes, qui diffèreront de celles des autres. Même en France, selon les régions, on se met à la terrasse d'un café et on regarde passer les autochtones, c'est amusant. Pour ce qui me concerne, ça ne va guère plus loin. La Rassenkunde m'ennuie.

    RépondreSupprimer
  12. Le point de vue d'Aristide se défend bien, et pour n'importe quel critère, bien sûr, pas uniquement race, sexe. Mais il est très avantageux de se trouver dans une société ouverte, avec des émulations. Si vous êtes blackboulé ici, vous pouvez re-candidater ailleurs. Chaque fois que vous avez des rigidités, des quotas, pour favoriser ou freiner, vous risquez de gros effets pervers. Lors de l'afflux de réfugiés juifs européens, certains départements d'universités américaines ont cru malin de repousser les candidats juifs pour favoriser à tout prix les locaux, même quand ils étaient moins bons. Tant pis pour elles.

    RépondreSupprimer
  13. Certes Curmudgeon, nous sommes d'accord sur le fond: un recruteur qui cherche la meilleure compétence et une bonne intégration d'un nouveau collaborateur dans une équipe a toute latitude et tout le loisir d'engager qui il veut, pour le meilleur et pour le pire et au mieux de ses intérêts. Une politique "Don't ask Don't tell" est aussi tentante, évidemment.

    Ceci dit, que veut vraiment dire "Don't ask, don't tell"? on ne te demandera pas si tu es gay, ne nous le fais pas savoir non plus; si tu fais bien ton job de soldat, tout ira bien. Si tu le fais mal, tu te feras buter ou on refusera ton ré-engagement.

    Peut-on appliquer le même raisonnement en 2011, Curmudgeon? les gays sont-ils pour ou contre le Don't ask Don't tell?

    Et un "jeune" qui ne serait pas engagé à la fin d'un stage, ou qui se ferait dégager à la fin de sa période d'essai, accepterait-il le concept même du Don't ask Don't tell, et surtout sa composante essentielle, à savoir le fair play?

    Fut un temps, Don't ask Don't tell était la norme. C'était bien.

    Mais l'Etat, les associations et les journalistes se sont rendu compte que cet état d'esprit défavorisait les pauvres immigrants de couleur et de culture différentes, incapables d'aligner deux phrases ou de coucher trois mots sur une feuille de papier. Ici, pas de racisme, pas de xénophobie, mais bien des gens qui ne faisaient pas l'affaire.

    Ce sont eux, l'Etat, les associations et les journalistes, qui ont racialisé la question de l'emploi. Fini le Don't ask Don't tell. Revendiquez vos différences plutôt que de rentrer dans le moule, et si ça pose problème, hurlez à la discrimination.

    RépondreSupprimer
  14. Bien entendu, il s'agit de moyenne. Pour un blanc ou un asiatique donné, on pourra trouver des noirs plus intelligents, ou moins forts physiquement.

    RépondreSupprimer
  15. Philippe Rushton a démontré l'inégalité des races. Les noirs sont moins intelligents, en moyenne, que les blancs, lesquels sont moins intelligents, en moyenne, que les asiatiques.
    Mais le fossé intellectuel entre les noirs et les blancs est de très loin plus important que celui entre les blancs et les asiatiques.

    Par ailleurs, « les hormones qui confèrent aux Noirs un avantage en sport les rendent agités à l'école et plus facilement enclins au crime », (Philippe Rushton, phrase extraite de Wikipédia), ce qui explique la surreprésentation des noirs dans les prisons et les couloirs de la mort des pays multiraciaux, comme les Etats-Unis, et leur supériorité athlétique.

    La culture joue un rôle marginal, comme le démontre l'étude du devenir des enfants noirs adoptés et élevés par des familles d'une autre race: leurs résultats et leur parcours scolaire, leur insertion et leur réussite socio-professionnelles, les scores qu'ils obtiennent aux tests mesurant le QI, etc., ne convergent pas avec ceux des individus d'une autre race, au contraire ils ne diffèrent pas de ceux des individus noirs élevés par leur famille biologique. Les noirs ont un volume cérébral inférieur à ceux respectifs des blancs et des asiatiques, des organes génitaux plus développés, un bassin plus étroit, une croissance plus rapide.

    Les Etats-Unis comme objet d'étude ont une force démonstrative incomparable quant à la secondarité du facteur culturel, en ce sens que les afro-américains sont aussi anciennement implantés sur le sol américain que les blancs américains, et même plus anciennement implantés que les asiatiques, que les blancs sont tout autant des déracinés qu'eux, que les noirs américains font partie du "corps américain traditionnel" et historique, et que le roman national américain était vierge et n'existait pas avant l'arrivée des noirs, qui étaient présents dès le début de son écriture, contrairement aux Africains d'Europe où là à la rigueur on aurait pu incriminer leur implantation récente sur le sol européen, qui ferait qu'ils ne seraient pas encore complètement intégrés dans les sociétés autochtones d'accueil, ce qui ferait qu'ils n'auraient pas complètement achevé de se dépouiller des attributs de leur culture d'origine, et n'auraient pas encore complètement adopté la culture et les moeurs européennes.

    Chez les noirs, cette moindre intelligence innée, cette supériorité athlétique innée, cette surdélinquance trop patente pour pouvoir être uniquement attribuer à leur culture, tout cela crève les yeux, et ceux qui nient ça par pusillanimité, ou autocensure, ou refus de la réalité qu'on voudrait autre, plus conforme à ses idéaux, et moins déplaisante, ou par soumission à la bien-pensance, sont dépourvus d'honnêteté intellectuelle et perdent de leur crédit. Tout le monde le sait au fond de lui-même, même si tous ne se l'avouent pas. On peut soupçonner que ceux qui refusent avec obstination de discuter du facteur racial ou nient avec la dernière énergie son influence déterminante, et font commerce de traquer les incriminations du facteur racial, sont, par une sorte de refoulement psychanalytique, les plus intimement pénétrés des "préjugés" raciaux, et de l'importance du facteur racial.
    Watson, le co-découvreur de l'ADN, abonde dans le sens de Rushton, en déclarant, entre autre, que l'ONU ne peut pas prétendre appliquer la même politique que celle qui a présidé au développement des pays occidentaux et asiatiques.

    Les études de Philippe Rushton sont facilement accessibles sur Internet:

    http://www.charlesdarwinresearch.org/French.pdf

    RépondreSupprimer
  16. A toutes fins pratiques, la race et la culture, c'est la même chose.

    Les deux se transmettent dans un plumard.

    Les enfilages de mouches sur le sujet sont intéressants, mais totalement non pertinents lorsqu'il s'agit d'informer des décisions ou de faire de la politique.

    Ce sont des divertissements d'intellectuels oisifs.

    Vous savez, le type qui surgit dans une dicussion "islamophobe", et qui vous sort, comme s'il venait d'inventer l'eau chaude : ahahaha, mais les Arabes et les musulmans, c'est pas la même chose !

    Non, c'est pas tout à fait la même chose. Et alors ? En quoi cela fait-il de l'invasion islamique (en général) et arabe (en particulier) un phénomène inoffensif ?

    Une voiture et deux tonnes de métal, c'est pas non plus la même chose. Pourtant, vous regardez bien à droite et à gauche avant de traverser la rue.

    RépondreSupprimer
  17. Robert Marchenoir : Sur ce blog, on essaie en général de distinguer ce qui est à distinguer, tout simplement parce que, objectivement ce n'est pas la même chose. Opposer le "à toutes fins pratiques" et les enfilages de mouches d'intellectuels oisifs est un peu court. On ne sait pas bien d'ailleurs en quoi ces fameux intellectuels seraient oisifs. S'ils cherchent à opérer des distinctions, c'est justement parce qu'ils ne sont pas oisifs. Les intellectuels oisifs sont eux qui sont trop flemmards pour essayer de faire des analyses.

    Vous êtes vous-même, bien entendu, un intellectuel redoutable. Mais de ce genre de sophiste qui joue à l'anti-intellectuel. Une des techniques favorites de cette sorte de sophistes, c'est de faire croire qu'ils sont des réalistes expéditifs, qui tranchent les nœuds gordiens au lieu de se complaire dans des arguties d'intellectuels bavards. Vous savez parfaitement qu'une voiture "c'est" deux tonnes de métal au regard de considérations sur l'énergie cinétique, mais que, selon la plupart des autres points de vue, une voiture "ce n'est pas" la même chose que deux tonnes compressées chez le ferrailleur. Et vous savez que je sais que vous savez ça, parce qu'ici ça n'est pas un zinc de comptoir.

    Et puis, pendant qu'on y est, il y a autre chose qui "se transmet dans un plumard", c'est la langue. Donc la langue, c'est "à toutes fins pratiques" la même chose que la race ? C'est nouveau, ça.

    J'ai manifesté récemment sur ce blog mon recul devant toutes les indistinctions, les holismes, les confusions, etc. L'histoire de l'humanité passe entre autres par un accroissement de la spécialisation, des fonctions, des métiers, des domaines, etc. Je ne vois aucun intérêt dans un recul archaïsant.

    RépondreSupprimer
  18. Je n'ai pas lu Hughes Lagrange, que mentionne hotelalpha, mais ce que j'en sais indirectement semble intéressant. Voir aussi ce que dit l'écrivain malien Moussa Konaté sur le poids de la famille en Afrique noire, par exemple dans le bref article de Frédéric Pons sur le site de Vaeurs actuelles, "Une Afrique maudite ?", 16 décembre 2010. Voir aussi le blog quimboiseur au 1er décembre 2010.

    RépondreSupprimer
  19. "Donc la langue, c'est 'à toutes fins pratiques' la même chose que la race ?" (Curmudgeon)

    Oui, bien sûr.

    Et (avant que vous ne me posiez la question) : oui, c'est une approximation. Evidemment.

    Mais c'est une approximation opérationnelle. Utile. Juste. Pertinente.

    Je suis sûr que je n'ai pas besoin de vous expliquer pourquoi.

    Vous trouvez vraiment que les Noirs parlent français, quand ils sont francophones ? Ou anglais, quand ils sont anglophones ?

    Petit rappel : il y a moins d'un siècle, on parlait couramment de la race française, de la race allemande, etc.

    Cette déplorable habitude durait depuis au moins trois mille ans, si l'on s'en réfère à la Bible.

    Mais il n'a fallu aux intellectuels du XXème siècle que quelques décennies pour balayer trois millénaires d'erreur persistante.

    Comment les gens faisaient-ils pour être aussi cons, avant ?

    RépondreSupprimer
  20. Vous devriez lire les commentaires du Monde ou de Libé, on y trouve des phrases instructives comme : «le racisme n'est pas une opinion, c'est un délit».

    RépondreSupprimer
  21. Obsédé Textueljanvier 15, 2011

    @ Curmudgeon: "-J'ai tenté naguère une petite discussion sur un autre site, mais le ton était tel que j'ai laissé tomber. "

    Vous étiez un peu court sans doute. Tombé sur un bec peut être ?

    Sans dénigrer votre talent, reconnaissez que vous avez quelques difficultés à supporter la contradiction quand la partie adverse ne manque pas d'arguments.

    C'était chez le Pélicastre et lui même vous répondait:
    "-Ami linguiste, Pakounta perd beaucoup d’énergie à expliquer l’intelligence à des gens qui perdent beaucoup d’énergie à la rejeter. Forcément, ça finit par agacer."

    Bien à vous.

    http://lepelicastrejouisseur.wordpress.com/2010/11/19/stupidite-visible/

    RépondreSupprimer