vendredi, mars 23, 2012

Collèges, rues et sites : le jeu de massacre

Vous savez comme je suis attaché à l'histoire, aux traditions, aux racines, au respect que nous devons à nos ancêtres, à la nécessité de ne rien changer sauf en cas de besoin absolu, de ne pas faire les savants rétrospectifs.

Cette guerre aux morts par l'intermédiaire des plaques de rue est à vomir. Elle témoigne d'une profonde lâcheté en même temps que d'un esprit sectaire et borné. Moi, je tolère bien qu'il reste des rues Lénine, même si cela provoque mes sarcasmes. Mais quoi ? Nous savons bien que nous sommes cernés par les cons. Mon problème est que cela s'aggrave.

Cette guerre des plaques n'est pas anodine et ceux qui la font ne sont pas innocents, ce sont des orwelliens pur sucre.

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